Suis-je inquiet? Plusieurs choses me donnent de quoi me faire du mauvais sang; pour bonnes et mauvaises raisons… Mais la venue au monde de ma future fille est loin de faire partie de ce lot. Bien sûr, c’est une nouvelle vie qui commence, pleine de responsabilités inédites et de difficultés à surmonter. Tout ça, je m’en moque, car pour moi l’espoir de te tenir dans mes bras surpasse tout.
Il y a déjà huit mois, quand nous venions à peine de découvrir ton existence, je t’aimais déjà. Petit à petit, tu grandissais dans le ventre de ta mère, les soubresauts de ta vie la chatouillaient de l’intérieur, je n’avais pas la preuve matérielle de ton existence… je savais que tu vivais.
Il y a déjà 6 mois alors que ma foi en toi m’apportait la preuve irréfutable de ta future venue au monde, j’ai tremblé d’effroi. Peur, une peur presque disproportionnée de te perdre… peur que ton existence si brève, où j’avais déjà tant d’affection pour toi, soit déjà finie. Heureusement, il n’en était rien.
Tu continuais à grandir et un jour alors que ma main était posée sur le ventre de ta mère, j’ai senti ton pied ou ta main donner un petit coup. Le premier signe physique que tu m’as donné.
Et les journées passèrent jusqu’à aujourd’hui, un jour avant celui où tu dois normalement venir au monde, et je ne suis toujours pas inquiet. Je sais que tu auras beaucoup de besoin, nourriture, vêtements, sommeil, mais aussi, et surtout d’amour. C’est pour cela que je ne suis pas inquiet, car de l’amour pour toi, j’en ai fait d’énormes réserves à partir d’une source qui ne tarira jamais.
Élika ma chère petite fille, je t’aime!
Il y a déjà huit mois, quand nous venions à peine de découvrir ton existence, je t’aimais déjà. Petit à petit, tu grandissais dans le ventre de ta mère, les soubresauts de ta vie la chatouillaient de l’intérieur, je n’avais pas la preuve matérielle de ton existence… je savais que tu vivais.
Il y a déjà 6 mois alors que ma foi en toi m’apportait la preuve irréfutable de ta future venue au monde, j’ai tremblé d’effroi. Peur, une peur presque disproportionnée de te perdre… peur que ton existence si brève, où j’avais déjà tant d’affection pour toi, soit déjà finie. Heureusement, il n’en était rien.
Tu continuais à grandir et un jour alors que ma main était posée sur le ventre de ta mère, j’ai senti ton pied ou ta main donner un petit coup. Le premier signe physique que tu m’as donné.
Et les journées passèrent jusqu’à aujourd’hui, un jour avant celui où tu dois normalement venir au monde, et je ne suis toujours pas inquiet. Je sais que tu auras beaucoup de besoin, nourriture, vêtements, sommeil, mais aussi, et surtout d’amour. C’est pour cela que je ne suis pas inquiet, car de l’amour pour toi, j’en ai fait d’énormes réserves à partir d’une source qui ne tarira jamais.
Élika ma chère petite fille, je t’aime!
2 commentaires:
tres belle les nouvelles photo bye bye xxx
Et la suite ? Élika est-elle née ?
Enregistrer un commentaire